“There are no more barriers to cross. All I have in common with the uncontrollable and the insane, the vicious and the evil, all the mayhem I have caused and my utter indifference toward it I have now surpassed. My pain is constant and sharp, and I do not hope for a better world for anyone. In fact, I want my pain to be inflicted on others. I want no one to escape. But even after admitting this, there is no catharsis; my punishment continues to elude me, and I gain no deeper knowledge of myself. No new knowledge can be extracted from my telling. This confession has meant nothing.”
Est-ce inscrit dans la nature d’une histoire que de faire évoluer son personnage principal vers une amélioration ?
Est-ce comme ça dans la vie ? Sors t-on toujours victorieux de nos histoires ? Je ne crois pas. Beaucoup de choses que nous vivons ne servent à rien et ne sont pas destinées à nous faire évoluer. Pourquoi alors ne pas retranscrire ça dans nos histoires ?
Pourquoi est-ce si important de montrer, dans nos histoires, que l’on apprend quelque chose de nos vies ? Pourquoi ce modèle est-il alors devenu un paradigme qu’on retrouve dans la plupart des productions contemporaines (et pas que) ? Alors, peut-être cela aide-t-il le spectateur ? Mais comment ? Guide-t-on le lecteur en lui proposant une direction et un personnage auxquels s’identifier ? Est-ce une bonne chose ? Raconter des histoires ne sert-il qu’à ça ?
Laisser un commentaire